Rencontre avec Agathe, fondatrice d’Agatto

25/03/2022 | à la une, articles, culture, talents, top recettes

Temps de lecture : 2 minutes

À quelques jours de l’évènement “Un printemps japonais”, nous avons voulu en savoir plus sur celles et ceux qui se cachent derrière les projets, allant du saké aux mochis, en passant par les bentos.

Après avoir travaillé pour de grands chefs à Paris, Agathe a un jour décidé de s’envoler pour le Japon avec comme défi de maîtriser les recettes de pâtisseries locales. De retour à Paris, elle a lancé Agatto pour partager ce savoir-faire au plus grand nombre à travers ses ateliers.

© Nastasia Frolow

Qui es-tu Agathe ? Et qu’est-ce qui t’a amenée à la pâtisserie japonaise ?

J’ai 30 ans et je suis pâtissière depuis une dizaine d’années. J’ai été formée en France à Paris par de grands chefs. J’ai toujours été attirée par la gastronomie japonaise et les mystères de la culture nippone.

Lorsque l’occasion s’est présentée pour moi d’intégrer une pâtisserie Franco-japonaise à Tokyo, j’ai saisi ma chance.

Depuis mon retour j’ai monté Agatto, une entreprise de cours de pâtisserie pour les particuliers et les professionnels.

Pourquoi tout le monde est dingue de mochi ? Et en fait c’est quoi un mochi ?

C’est l’alliance des textures qui nous rend fou des mochis, d’ailleurs au Japon on les appelle « daifuku » ce qui signifie grand bonheur ! Les daifuku traditionnels sont composés de pâte de riz gluant, confiture de haricots azuki que l’on appelle « an » et garni d’une excellente fraise fraîche dont seuls les japonais ont le secret.

En France, on aime les garnir de ganache pour les rendre plus gourmands et réalisables toute l’année.

Ton dernier coup de cœur de cuisine japonaise c’était quoi ?

Les fluffy pancakes japonais ! Ce sont des nuages de douceur. Je travaille actuellement sur une recette pour les proposer dans un nouvel atelier.

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